21 septembre 2007
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17:16
La protection sociale et la santé sont menacée. Ensemble, réagissons.
La fédération des Ardennes du P.C.F. organise un
débat public le 5 octobre
à 18 h 30 à l'hôtel de ville de Mézières,
avec Alain LEGER,
ancien député des Ardennes,
ancien conseiller technique du ministère de la santé.
Avec ces franchises, il s'agit, sous prétexte de responsabiliser les patients, de faire payer la note aux assurés sociaux. La conséquence sera un nouveau recul dans l’accès aux soins, particulièrement pour les bas revenus. Cette logique tourne le dos aux principes de solidarité, fondateurs de la sécurité sociale. Il est urgent d’ouvrir une discussion sur l’avenir des besoins de santé et la remise à plat de leur financement. D’autres solutions sont possibles. A l’initiative d’un collectif, une pétition contre les franchises médicales circule, le P.C.F. en est signataire. Cette initiative de rencontre débat public sera l’occasion de centraliser ces pétitions et d’affirmer la volonté de résistance face à la casse de la santé.
Il faut aller vite : le débat au parlement est prévu pour le 22 octobre ! Mais l'hostilité à ce projet est telle que le rassemblement de tous les protestataires pourrait faire reculer le gouvernement !
Le projet de loi de financement de la sécurité sociale 2008 devrait comporter aussi une étape décisive dans la casse des hôpitaux publics, puisque N. Sarkozy a confirmé que la part de la tarification à l'activité passerait à 100 % dans le financement des hôpitaux dès 2008. Cette accélération du très grave processus de mise en concurrence du secteur public hospitalier avec le privé, en attribuant les mêmes recettes alors que les charges sont différentes (prise en charge des urgences par exemple) témoigne une fois de plus du caractère anti social du président de la république !
débat public le 5 octobre
à 18 h 30 à l'hôtel de ville de Mézières,
avec Alain LEGER,
ancien député des Ardennes,
ancien conseiller technique du ministère de la santé.
Avec ces franchises, il s'agit, sous prétexte de responsabiliser les patients, de faire payer la note aux assurés sociaux. La conséquence sera un nouveau recul dans l’accès aux soins, particulièrement pour les bas revenus. Cette logique tourne le dos aux principes de solidarité, fondateurs de la sécurité sociale. Il est urgent d’ouvrir une discussion sur l’avenir des besoins de santé et la remise à plat de leur financement. D’autres solutions sont possibles. A l’initiative d’un collectif, une pétition contre les franchises médicales circule, le P.C.F. en est signataire. Cette initiative de rencontre débat public sera l’occasion de centraliser ces pétitions et d’affirmer la volonté de résistance face à la casse de la santé.
Il faut aller vite : le débat au parlement est prévu pour le 22 octobre ! Mais l'hostilité à ce projet est telle que le rassemblement de tous les protestataires pourrait faire reculer le gouvernement !
Le projet de loi de financement de la sécurité sociale 2008 devrait comporter aussi une étape décisive dans la casse des hôpitaux publics, puisque N. Sarkozy a confirmé que la part de la tarification à l'activité passerait à 100 % dans le financement des hôpitaux dès 2008. Cette accélération du très grave processus de mise en concurrence du secteur public hospitalier avec le privé, en attribuant les mêmes recettes alors que les charges sont différentes (prise en charge des urgences par exemple) témoigne une fois de plus du caractère anti social du président de la république !