Le téléphone qui sonne en tout début de matinée : des camarades ont été pris à partie par des colleurs du Front National en fin de soirée : projectiles sur la voiture, bombe lacrymogène, voiture enfoncée.
Leurs témoignages seront entendu à 10h 30 à la gendarmerie de Rethel qui a pris l'affaire très au sérieux : le sous préfet a été prévenu dans la nuit.
Le soutien s'organise : mail, téléphone, et nous sommes tout un groupe pour les soutenir devant la gendarmerie. Des Rémois sont venus apporter leur solidarité.
Le Front National n'a pas supporté être mis en difficulté dans cette campagne électorale par le Front de Gauche, voir ses idées racistes, son soutien aux grands patrons démasqués. Le recours à la violence ne fait que confirmer le caractère haineux de ces militants, adeptes d'une politique d'opposition des citoyens entre eux,