18 décembre 2007
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Alors, ils viennent à la région !
Hier, avant la session plénière du conseil régional, j'ai reçu, avec le Président Bachy, une délégation d'"ex-FBMA". Un contentieux existait, concernant des
financements de formation, contentieux favorisée par la Direction Départementale du Travail, de l'Emploi de de la Formation Professionnelle de la Haute Marne renvoyant vers le Conseil Régional, à
en écouter les salariés, alors qu'elle est partie prenante des décisions de la cellule de reclassement. Ce contentieux va être réglé : il nécessitait uniquement des contacts directs pour régler
des cas particuliers, car qui dit reclassement dit juxtaposition de cas particuliers.
Je suis toujours en admiration devant la passion qui anime les représentants des ex-FBMA et de Marcelle Fontaine, conseillère générale de Haute Marne, qui les soutient.
Et il en faut de la passion. Car il ne faut effectivement pas baisser les bras devant un patronat sans considération pour les hommes et les femmes qui font la richesse de l'entreprise !
FBMA a licencié l'année dernière ; FBMA emploie actuellement 65 intérimaires. Mais l'entreprise n'a pas repris ses anciens salariés : un vrai scandale et le conseil régional va interroger la DDTEFP 52 à ce sujet.
De fortes interrogations existent aussi vis à vis d'entreprises de transports routiers qui prétendent avoir des offres d'emploi et ferment la porte devant d'anciens FBMA. Serait-ce parce qu'ils sont dans la deuxième moitié de leur vie professionnelle ? Il s'agirait d'une discrimination par l'âge inadmissible.
Cette réunion était trop courte pour remplacer la réunion que j'avais proposé à Marcelle Fontaine d'organiser en janvier avec les ex-FBMA mais aussi avec les anciens de Mac Cormick. Car il faut faire le bilan de ce qui a été fait en terme de reclassement. Une cellule de reclassement ne peut pas reclasser quand il n'y a pas d'emplois et en l'occurrence, le bassin d'emploi de St Dizier est en grosse difficulté. Encore faut il que l'accompagnement des ex-salariés soit réel.
Dans le cadre de sont dispositif MUTAREV, le conseil régional vient de formaliser son dispositif d'accompagnement et de formation des salariés licenciée. Mais des progrès peuvent certainement encore être faits. Comme par exemple cette question abordée hier du financement du permis de conduire, devenu indispensable après leur licenciement pour des personnes qui n'en avaient jamais eu besoin. J'en ai déjà trop entendu parler pour proposer hier de régler par une mesure dérogatoire, d'autant plus que cela relève aussi des compétences sociales qui sont celles des conseils généraux ou des communes à travers les CCAS. Mais il y a aussi un travail à engager sur la manière d'aider à entrer en formation des personnes qui ont plein d'expérience professionnelle, mais quitté les bancs de l'école depuis de nombreuses années.
Je suis toujours en admiration devant la passion qui anime les représentants des ex-FBMA et de Marcelle Fontaine, conseillère générale de Haute Marne, qui les soutient.
Et il en faut de la passion. Car il ne faut effectivement pas baisser les bras devant un patronat sans considération pour les hommes et les femmes qui font la richesse de l'entreprise !
FBMA a licencié l'année dernière ; FBMA emploie actuellement 65 intérimaires. Mais l'entreprise n'a pas repris ses anciens salariés : un vrai scandale et le conseil régional va interroger la DDTEFP 52 à ce sujet.
De fortes interrogations existent aussi vis à vis d'entreprises de transports routiers qui prétendent avoir des offres d'emploi et ferment la porte devant d'anciens FBMA. Serait-ce parce qu'ils sont dans la deuxième moitié de leur vie professionnelle ? Il s'agirait d'une discrimination par l'âge inadmissible.
Cette réunion était trop courte pour remplacer la réunion que j'avais proposé à Marcelle Fontaine d'organiser en janvier avec les ex-FBMA mais aussi avec les anciens de Mac Cormick. Car il faut faire le bilan de ce qui a été fait en terme de reclassement. Une cellule de reclassement ne peut pas reclasser quand il n'y a pas d'emplois et en l'occurrence, le bassin d'emploi de St Dizier est en grosse difficulté. Encore faut il que l'accompagnement des ex-salariés soit réel.
Dans le cadre de sont dispositif MUTAREV, le conseil régional vient de formaliser son dispositif d'accompagnement et de formation des salariés licenciée. Mais des progrès peuvent certainement encore être faits. Comme par exemple cette question abordée hier du financement du permis de conduire, devenu indispensable après leur licenciement pour des personnes qui n'en avaient jamais eu besoin. J'en ai déjà trop entendu parler pour proposer hier de régler par une mesure dérogatoire, d'autant plus que cela relève aussi des compétences sociales qui sont celles des conseils généraux ou des communes à travers les CCAS. Mais il y a aussi un travail à engager sur la manière d'aider à entrer en formation des personnes qui ont plein d'expérience professionnelle, mais quitté les bancs de l'école depuis de nombreuses années.