11 octobre 2007
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La régulation de l’installation des médecins libéraux tombe sous le sens. La situation actuelle est clairement la conséquence de
choix politiques (pénurie organisée, maquis des tarifs et d’autorisation à dépassement,…).
Le projet du gouvernement Sarkozy amplifie le mouvement et l’inscrit dans une attaque globale qui asphyxie l’hôpital public (T2A à 100%), pénalise les malades (franchises médicales), invite les assureurs privés sur le « marché » de la dépendance, etc.
Notre système d’organisation de la médecine libérale doit être réformé, il est basé sur un conventionnement à bout de souffle. La régulation de l’installation doit être négociée dans le cadre d’un projet politique de Santé publique reposant sur une réflexion globale de l’organisation du système de soins avec un financement solidaire.
Au lieu de négocier, le gouvernement a volontairement provoqué la polémique. Son objectif est d’aller vers une modification complète du système en poussant les médecins vers le déconventionnement et la liberté tarifaire avec ses conséquences pour les usagers.
Je vous invite à aller lire l'analyse de cette question par l'UFMICT CGT, analyse que je partage, en cliquant ici.
Le projet du gouvernement Sarkozy amplifie le mouvement et l’inscrit dans une attaque globale qui asphyxie l’hôpital public (T2A à 100%), pénalise les malades (franchises médicales), invite les assureurs privés sur le « marché » de la dépendance, etc.
Notre système d’organisation de la médecine libérale doit être réformé, il est basé sur un conventionnement à bout de souffle. La régulation de l’installation doit être négociée dans le cadre d’un projet politique de Santé publique reposant sur une réflexion globale de l’organisation du système de soins avec un financement solidaire.
Au lieu de négocier, le gouvernement a volontairement provoqué la polémique. Son objectif est d’aller vers une modification complète du système en poussant les médecins vers le déconventionnement et la liberté tarifaire avec ses conséquences pour les usagers.
Je vous invite à aller lire l'analyse de cette question par l'UFMICT CGT, analyse que je partage, en cliquant ici.